En prenant pour point de départ le problème de l’apparaître de la hylé chez Husserl, je me demanderai, en m’appuyant sur Sartre et Patočka, comment il est possible de rendre compte de la manière dont le sujet fait paraître le monde à partir d’une conception fondamentale et originaire de l’être et en mettant l’accent sur la fonction du corps dans l’accès à la réalité sensible.
C’est une réflexion qui s’inscrit “dans la continuité” de ce que j’ai commencé à explorer dans “La condition sensible” mais en la confrontant avec une thèse “néo-réaliste”, celle de Sartre.